Titre : King of Chicago
Développeur: Master Designer Software.
Editeur : Cinemaware
Année : 1987
Capone, les Incorruptibles, la prohibition, la musique groovee et les années folles.
Un genre qui passe très bien au cinéma et Cinemaware adepte du genre ne pouvait pas passer à coté de cette période en offrant un opus de qualité comme à leur habitude.
Le jeu ressemble de nouveau à un film interactif où les décisions prisent ont une importance cruciale, celle-ci modifiant fortement le cours de l’histoire et la fin vers laquelle vous êtes destiné.
Pinky « call me the boss » Callahan, tel sera votre nom pour vous lancer dans la course à la succession de Capone himself pour finir Roi de Chicago… ou au fond d’une rivière.
L'ascension de Pinky
Le soft présente bien graphiquement, les visages sont superbes et chaque protagoniste a une « gueule » charismatique. Le reste du corps semble ne pas être en accord mais il ne faut pas oublier que nous sommes en 1987 et que le tout ne tient que sur deux disquettes.
Les musiques sont toutes magnifique et renforce encore plus l’immersion.
Tout se joue à la souris et on passe le plus clair de son temps à choisir des bulles de dialogue pour faire avancer l’histoire. Mais comme à son habitude, l’éditeur ne se limite pas qu’à ça, il propose quelques petites séquences arcade pas très bien réalisé mais toujours intéressante à jouer car amenant un peu d’action.
On aura au choix :
- la possibilité de lancer une bombe dans une maison et l’action se limite à un clic placé au moment adéquat.
- Nettoyer l’extérieur d’une maison à la sulfateuse (on se rapproche du jeu Prohibition ou Capone sur Amiga)
- Tuer son adversaire à bout portant en vue à la 1ere personne.
- Une course poursuite.
- Jouer aux dés
Shoot the old man
Tout le reste du jeu ne sera que dialogue, mais quel dialogue !
Obligation de comprendre la langue de Shakespeare pour vraiment profiter du soft et encore plus l’argot et les jeux de mots employé. Ca fuse dans tout les sens et on se réjouit à chaque fois à l’idée de découvrir une nouvelle perle.
La palette de personnage tordu permet de jouer à fond la carte du décalage. Personne n’est propre mis à part peut être la mère de Gallahan car même sa propre fille sera la parfaite garce qui préfèrera l’argent plus que tout au monde au risque de le trahir. On est constamment sur la corde raide car n’importe qui peut se retourner contre vous si une faiblesse se fait sentir.
Lola, je suis ton père!
Santucci, le principal adversaire bien entendu qui vous enverra ses sbires, Burke le politicien corrompu, la Police et votre fidèle bras droit Ben qui peut considérer que vous n’êtes pas un leader capable de régner sur Chicago. Je soupçonne même le gamin qui nous renseigne d’avoir été conçu pour trahir Pinky en échange d’un bonbon (même si ça ne m’est jamais arrivé pour le moment). La paranoïa est totale et elle tient le jeu de bout en bout.
Ce n'est pas bien d'écouter aux portes
Au final, on peut ressortir mitigé si on n’a pas accroché aux dialogues savoureux du jeu. Les phases d’action sont poussive pour toute personne fan de plateforme millimétré ou de shoot intensif. Si on passe outre, on y verra une perle de simplicité et d’ambiance ou pour arriver à ses fins il faudra faire de bons choix. Peu importe comment, il faut un résultat et il y a tellement de possibilités offertes qu’on ne se lasse pas.
Traduction :____________ ______ ___________
Scénario :
Le Parrain, Scarface, l’ascension d’un homme à la tête de la mafia.
Graphismes :
Très agréable et très détaillé au niveau des visages et des scènes d’action, un peu moins bon en ce qui concerne le reste du corps qui semble avoir été découpé dans du papier.
Sons :
L’Amiga dans toute sa splendeur, des thèmes musicaux qui colle à l’époque et qu’on se prend à fredonner, bruitage un peu en retrait mis à part quelques coups de feu et explosion de bombe.
Durée de vie :
Enorme, il y a tellement de possibilités d’évolution qu’il est impossible de tout énumérer ici.
Note finale :
On accroche a tout ses points positifs et ce sera forcément une bonne note. Si ce n’est pas le cas, le jeu y perdra tout son intérêt, on pourra donc le qualifier de trop simple, lassant et mal équilibré.
Je lui donne 8 boulets sur 10, fanboy de Cinemaware oblige.
Développeur: Master Designer Software.
Editeur : Cinemaware
Année : 1987
Capone, les Incorruptibles, la prohibition, la musique groovee et les années folles.
Un genre qui passe très bien au cinéma et Cinemaware adepte du genre ne pouvait pas passer à coté de cette période en offrant un opus de qualité comme à leur habitude.
Le jeu ressemble de nouveau à un film interactif où les décisions prisent ont une importance cruciale, celle-ci modifiant fortement le cours de l’histoire et la fin vers laquelle vous êtes destiné.
Pinky « call me the boss » Callahan, tel sera votre nom pour vous lancer dans la course à la succession de Capone himself pour finir Roi de Chicago… ou au fond d’une rivière.
L'ascension de Pinky
Le soft présente bien graphiquement, les visages sont superbes et chaque protagoniste a une « gueule » charismatique. Le reste du corps semble ne pas être en accord mais il ne faut pas oublier que nous sommes en 1987 et que le tout ne tient que sur deux disquettes.
Les musiques sont toutes magnifique et renforce encore plus l’immersion.
Tout se joue à la souris et on passe le plus clair de son temps à choisir des bulles de dialogue pour faire avancer l’histoire. Mais comme à son habitude, l’éditeur ne se limite pas qu’à ça, il propose quelques petites séquences arcade pas très bien réalisé mais toujours intéressante à jouer car amenant un peu d’action.
On aura au choix :
- la possibilité de lancer une bombe dans une maison et l’action se limite à un clic placé au moment adéquat.
- Nettoyer l’extérieur d’une maison à la sulfateuse (on se rapproche du jeu Prohibition ou Capone sur Amiga)
- Tuer son adversaire à bout portant en vue à la 1ere personne.
- Une course poursuite.
- Jouer aux dés
Shoot the old man
Tout le reste du jeu ne sera que dialogue, mais quel dialogue !
Obligation de comprendre la langue de Shakespeare pour vraiment profiter du soft et encore plus l’argot et les jeux de mots employé. Ca fuse dans tout les sens et on se réjouit à chaque fois à l’idée de découvrir une nouvelle perle.
La palette de personnage tordu permet de jouer à fond la carte du décalage. Personne n’est propre mis à part peut être la mère de Gallahan car même sa propre fille sera la parfaite garce qui préfèrera l’argent plus que tout au monde au risque de le trahir. On est constamment sur la corde raide car n’importe qui peut se retourner contre vous si une faiblesse se fait sentir.
Lola, je suis ton père!
Santucci, le principal adversaire bien entendu qui vous enverra ses sbires, Burke le politicien corrompu, la Police et votre fidèle bras droit Ben qui peut considérer que vous n’êtes pas un leader capable de régner sur Chicago. Je soupçonne même le gamin qui nous renseigne d’avoir été conçu pour trahir Pinky en échange d’un bonbon (même si ça ne m’est jamais arrivé pour le moment). La paranoïa est totale et elle tient le jeu de bout en bout.
Ce n'est pas bien d'écouter aux portes
Au final, on peut ressortir mitigé si on n’a pas accroché aux dialogues savoureux du jeu. Les phases d’action sont poussive pour toute personne fan de plateforme millimétré ou de shoot intensif. Si on passe outre, on y verra une perle de simplicité et d’ambiance ou pour arriver à ses fins il faudra faire de bons choix. Peu importe comment, il faut un résultat et il y a tellement de possibilités offertes qu’on ne se lasse pas.
Traduction :____________ ______ ___________
Scénario :
Le Parrain, Scarface, l’ascension d’un homme à la tête de la mafia.
Graphismes :
Très agréable et très détaillé au niveau des visages et des scènes d’action, un peu moins bon en ce qui concerne le reste du corps qui semble avoir été découpé dans du papier.
Sons :
L’Amiga dans toute sa splendeur, des thèmes musicaux qui colle à l’époque et qu’on se prend à fredonner, bruitage un peu en retrait mis à part quelques coups de feu et explosion de bombe.
Durée de vie :
Enorme, il y a tellement de possibilités d’évolution qu’il est impossible de tout énumérer ici.
Note finale :
On accroche a tout ses points positifs et ce sera forcément une bonne note. Si ce n’est pas le cas, le jeu y perdra tout son intérêt, on pourra donc le qualifier de trop simple, lassant et mal équilibré.
Je lui donne 8 boulets sur 10, fanboy de Cinemaware oblige.
Dernière édition par Carst le Mar 7 Avr - 14:30, édité 4 fois